• "Il était une fois une fille d'un roi
    Au cœur plein de tristesse
    Enfermée nuit et jour
    Au sommet d'une tour
    Elle pleurait toujours
    Un jour, prenant son vol
    Un gentil rossignol
    Vint dire à la princesse
    "Je t'apporte l'espoir"
    C'est pour le revoir,
    Qu'elle chante le soir :

    Rossignol, rossignol de mes amours
    Quand ton chant s'élèvera
    Mon chagrin s'envolera
    Et l'amour viendra peut-être
    Ce soir, sous ma fenêtre
    Reviens gentil rossignol......"

    (Vous vous souvenez?)

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    BONNE FÊTE AUX MAMANS


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  • "FLÛTE TROP GRAND....

    POURTANT J'ME VOYAIS DEJA....


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  • Dessin de@ LAMPhttp//lampotaku.ru 
    Par Christophe Gallaz
    http://www.contrepointphilosophique.ch/
    Rubrique Humorales 
    Le complice des usures et du vieillissement

    Cette infime plasticité du dessin le rend apte à contenir de la durée, que le monde d’aujourd’hui s’efforce de nier par tous les moyens. C’est pourquoi le dessin sait comment recevoir et signifier les phénomènes de la naissance et du trépas - qui terrifient, l’un autant que l’autre, le monde d’aujourd’hui. Le dessin ne dément pas la réalité du temps qui passe et transforme les êtres et les objets, contrairement au monde d’aujourd’hui qui s’érige, sous le signe suprême de la consommation, en administrateur exclusif de leur destin. Le dessin est le complice des usures, des amoindrissements, des érosions, des désagrégations, des morcellements, des écroulements, des affaissements, des fatigues, des lassitudes, des vacillements, des tremblements, des amnésies, des imprécisions, du flou, des incertitudes et du vieillissement, avant que les corps et les âmes basculent dans le crépuscule, contrairement au monde d’aujourd’hui, qui se force à l’ignorance de tout cela tant ne règnent en lui que les chimères de l’instant qui pulvérise, de la performance qui bande et de l’immortalisation qui fige.

    Tous les sentiments qui nous irradient intimement, et tous les mouvements secrets des objets, des paysages, des lumières et de l’air, sont un dessin. Tout ce qui ne fanfaronne pas en tant que spectacle participe du dessin, alors que le monde d’aujourd’hui valide seulement ce qui concourt à le muer lui-même en spectacle. La mélancolie, la nostalgie, le spleen, les visions remontées de l’enfance ou réinventées plus tard à son propos, le souvenir des disparus, la traversée d’un visage par un sourire, les reflets, les irisations, les chatoiements, les échos, les résonances, les bégaiements de la parole, les atermoiements de la pensée, les fléchissements du courage et de la vaillance, les conjectures, les attentes, les espoirs, les déceptions, les regrets, les craintes, les perplexités, le songe des plantes au fond de la terre obscure, les regards obliques de l’animal pourchassé dans la forêt, l’étirement des nuages dans le ciel, et tout ce qui réside dans les ampleurs de l’ombre ou les replis du hasard, sont un dessin. .....(àsuivre)

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  • Un Minou funambule

    sous la lune et les étoiles

    Fait de bulles

    tout en rêvant de partir

     dans un chariot à voile

    Comme chez Prévert

    Pour faire le tour du monde

    voir si la Terre est ronde..

    Rêve de Chat

     de Pacha

    peut être le Chat Perché ???

    VAS DONC SAVOIR...


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  • Comme ça  pour m'amuser

    c 'est pas sérieux? qu'est ce ça peut faire...


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